Facile, rapide et gratuit

Créez votre site maintenant

Je crée mon site
Site gratuit créé sur

Evénement à venir...

Le tournoi national est en cours de préparation et est prévu 16 octobre 2022

Suivez-nous sur les réseaux sociaux

©2023 BCBB by Omi44 & Théo

L'interview de Jérémy...


Jérémy BLOUTIN


Salut Jérémy, quel âge as-tu ? 
J'ai 34 ans
Parlons d’abord de ta carrière de joueur… Quel a été ton meilleur classement ?
Mon meilleur niveau a été A2 [équivaut à N2-N3 maintenant], et j’ai été 113ème français.

 

Quel est ton tableau de prédilection ?
Je préfère le simple
Quels diplômes as-tu passé pour être entraîneur ?
J’ai d’abord passé un BE multisport, puis un BE de badminton et enfin un DE de badminton (équivaut à un BAC + 3).

 

Quel a été ton parcours d’entraîneur ?
J’entraîne au FIB depuis 16 ans (2005), d’abord quelques heures avec des entraînements dans d’autres club aux alentours puis finalement à temps plein avec une mise-à-disposition à Bain, depuis 8 ou 9 ans.

 

Quel niveau entraînes-tu au FIB ?
Les (équipes) nationales, les (équipes) régionales et les jeunes.

 

Prônes-tu un style de jeu ?
Absolument pas, je ne souhaite pas mettre tout le monde dans le même moule. Chacun a un style de jeu qui lui est propre et je ne souhaite pas faire des séances avec un style de jeu formaté.

 

As-tu alors une méthode particulière ?
Oui, je souhaite mettre en avant le côté relationnel et convivial. Le plus important pour moi est de privilégier le côté chaleureux et le plaisir, autant pour moi que pour les joueurs.
Et qui préfères-tu entraîner ? les compétiteurs, les loisirs ?
Sans hésitation, les jeunes. Ils sont assidus, à l’écoute et leur progression est visible rapidement. Mais d’ordre général, que ce soit pour les jeunes ou les adultes, ma préférence va très naturellement vers une salle où règne une bonne ambiance. Par exemple, je préfère entraîner des loisirs où tout le monde s’amuse et se divertit plutôt que des compétiteurs ou du haut-niveau où on en oublierait presque de prendre du plaisir.

 

Cela ne t’empêche pas d’avoir eu de belles réussites en tant qu’entraîneur… De quoi ou de qui es-tu le plus fier ?
Baptiste (Labarthe), sans aucun doute… Il a commencé en minibad à Bain avant de venir me retrouver au FIB. Baptiste est tout de même en équipe de France, double champion d’Europe, triple champion de France…

 

Que penses-tu du BCBB ?
C’est un club convivial et très plaisant. Je suis toujours très heureux d’y aller malgré la route car, au-delà du travail, il y a une ambiance sympa et toujours agréable où on peut retrouver une bande de copains. En plus, vous avez des infrastructures de folie qui font des envieux dans beaucoup de club aux alentours.


As-tu noté une évolution depuis que tu es à Bain ?
Ce n’est pas difficile de répondre à cette question. Chez les adultes, quand je suis arrivé, l’équipe première était en D2 (départementale) ; elle est désormais en R2 (régionale).
Chez les jeunes, l’évolution est également notable puisque nous avions une dizaine de jeunes au championnat d’Ille-et-Vilaine cette année.

 

Quels sont les points forts du club ?
Vous bénéficiez d’une grosse structuration avec un bon investissement des bénévoles, surtout dans l’encadrement, ce que nous ne retrouvons pas forcément dans les autres clubs. Pour les jeunes, le club a fait de gros efforts avec la mise en place d’un groupe « élite » que j’entraîne le vendredi après-midi et un autre groupe le lundi soir dont la séance est animée par des bénévoles. La plus grosse satisfaction pour un entraîneur est d’intégrer des jeunes à l’équipe première, ce qui s’est produit cette année et qui devrait se reproduire de plus en plus dans les années qui viennent.

 

Quelles sont les améliorations à apporter ?
J’aimerais bien faire progresser les jeunes pour les emmener à un niveau régional, ce serait sympa. Ça va venir. Et le plus important serait de pouvoir stabiliser les équipes adultes.
 
Un grand merci à Jérémy...

L'interview de Maxime...

Bonjour, nous sommes le 2 décembre 2020… Si tu veux bien, faisons comme si nous ne nous étions jamais vus afin que les visiteurs puissent apprendre à te connaître….

 

Comment t’appelles-tu ? Maxime HABELIN

Quel âge as-tu ?    43 ans

Depuis quand travailles-tu à la cave ?    4 ans et demi

 

Parlons davantage du sponsoring...

 

Depuis combien de temps es-tu sponsor ?   Nous sommes partenaires depuis 2 ans et demi puisque nous étions déjà fournisseurs avant de devenir officiellement sponsor.

 

Comment es-tu devenu sponsor ?   J’ai été démarché par un adhérent qui était client.

 

Comment se passe le partenariat de manière générale ?  Il se passe très bien. Le club de badminton, que ce soit les joueurs ou le bureau jouent vraiment le jeu. Je fournis et il y a un retour très important : cela a amené une nouvelle clientèle. Il y a plus d’animations. 

 

Maintenant que tu connais bien le club et ses adhérents, peux-tu nous dire si tu avais déjà beaucoup de clients du club avant ? 
Non, 3… Maintenant c’est bien plus. Il est difficile de quantifier exactement le nombre de licenciés qui viennent au magasin mais les passages sont très réguliers et ça donne envie de s’investir encore plus pour le club.

 

Comment s’appelle le directeur du magasin ?    Kevin BLANCHARD. 

 

J’imagine que tu as évoqué le partenariat avec lui… Qu’en pense-t-il ? A-t-il le même ressenti que toi ?
Oui. Il voit les chiffres. Je note tout pour le badminton. Il est très satisfait des chiffres et n’hésite pas à accepter les demandes du club. Il est venu l’année dernière au TR (Tournoi régional). Il trouve que ça fonctionne très bien d’autant que le bureau vient faire le plein de provisions pour chaque événement du club (notamment le tournoi régional, bad’Halloween, le tournoi de noël, la journée de l’équipe régionale et le barbecue du club)

 

Si tu devais citer quelques points positifs ?   Sans hésiter, la grosse publicité, que ce soit sur les réseaux sociaux ou le bouche-à-oreille car les adhérents n’hésitent pas à en parler autour d’eux. Sans parler forcément du chiffre d’affaires, j’apprécie tout particulièrement le gros investissement pour les tournois : il y a toujours  plein de bénévoles avec un très bon accueil, un côté humain qui donne envie d’en faire plus.

 

Les points à améliorer ?   Ce n’est pas forcément inhérent à nos relations mais malheureusement, il est difficile de se projeter en raison des circonstances actuelles. Il faudra faire un point bientôt car le sponsoring arrive à son terme 3 ans.

 

Connaissais-tu le bad avant que nous venions te solliciter ? Pas du tout. 

 

Ça t’a donné envie d’essayer ?    Oui, j’ai pris une licence l’année dernière et j’ai recommencé cette année. J’aime beaucoup le club, l’ambiance qui se dégage. Le sport en lui-même est très physique pour bien décompresser, se défouler…

 

Cela t’intéresserait-il de faire partie d’une équipe ou de faire de la compétition ?   Ça reste un loisir. Je ne souhaite pas faire de compétition car je suis trop vieux (rire).

 

Un conseil ?    Continuer dans le même style… C’est un club qui progresse avec une bonne ambiance….

 

Et si tu avais quelque chose à dire à un futur sponsor qui ne le sait pas encore ?   Sans hésiter, il faut signer avec le badminton en terme de communication, de pub…. De chaleur… C’est très carré et en même temps, personne ne se prend la tête. Le travail va beaucoup plus vite et c’est très appréciable car ce n’est pas le cas avec toutes les structures.

 

Un grand merci Max pour ton soutien, ta bonne humeur, tes conseils en magasin et à bientôt sur les courts !!!

L'interview de Jérôme...

Quelque part dans la salle HD, au milieu des volants, le vendredi 28 Janvier 2022, aux alentours de 19h… A la vidéo : Flo. Au micro : Hélène. Les interviewés : Jérémy et Jérôme.

 

Jérôme, on se demandait les raisons qui t’avaient poussé à sponsoriser le club.
J’ai sponsorisé le club car j’ai crû comprendre que la période du COVID n’avait pas été facile pour le club et moi, j’apprécie tout particulièrement les entraînements que fait Jérémy. Donc l’idée, c’était de le pérenniser autant que possible. Si des acteurs locaux peuvent intervenir et aider un peu les gens qui font des trucs biens dans le coin, ben on est là.
Alors, tu nous dis que l’idée, c’est que c’est en tant qu’acteur local que tu sponsorises le club. Est-ce que tu peux nous expliquer ce que tu fais à Bain de Bretagne ?
Moi, je suis gérant d’une miroiterie à B2B qui transforme du verre pour une clientèle de professionnels et de particuliers, dans la région de Bain-De-Bretagne.
Et ça fait longtemps que tu es installé sur le secteur ?
Ca fera la 7ème année que BVI officie localement.
Et comment tu as connu le club de bad ?
Mes enfants sont tous les 2 adeptes de badminton et accros à ce sport. Et du coup, j’ai connu le club par leur intermédiaire.
Jérémy, tu connais les enfants de Jérôme ?
Oui, très bien. Je les vois 2 fois par semaine et ils sont très assidus. En plus avec Molène qui joue en équipe première et Ethan qui a intégré cette année les interclubs séniors aussi.
C’est quelle équipe que tu sponsorises ? (en se tournant vers Jérôme)
Alors, de manière assez fortuite, je sponsorise l’équipe première dans laquelle ma fille joue. Comme ça on fait d’une pierre deux coups ; on sponsorise le club et on se fait plaisir en famille.
Et toi Jérémy, comment tu perçois ce sponsoring ?
Je pense que pour le club, tout sponsoring est le bienvenu, forcément. C’est vrai que la crise n’a pas aidé les associations, ça a été un peu compliqué. Ça permet en plus de se développer parce qu’en fait, le badminton est un sport qui coûte cher. Beaucoup n’y pensent pas mais  il y a beaucoup de choses  : avec la R1, il y a les trajets, les volants, tout ce qui est équipement (t-shirts, shorts…) donc voilà ; il y a vraiment beaucoup beaucoup de choses qui coûtent cher, sur les à-côtés dont les gens ne se rendent pas forcément compte . Sans sponsoring extérieur,  un club ne peut pas aller dans l’élite au badminton.
On a entendu que Molène jouait en équipe première, c’est un niveau régional. Est-ce qu’on peut appeler ça du haut niveau ?
Ce n’est pas encore le haut niveau mais  on s’en rapproche. L’étape d’après, c’est la pré-nationale donc on est quand même dans le bon niveau de la Bretagne et on se rapproche vraiment du niveau français après. Il y a une petite marche encore.
Et alors du coup, le papa, c’est du haut niveau, hein ?
Oh c’est du haut niveau, une énorme fierté (rires)
On croit savoir que, Jérôme, vous aviez fait du sport aussi quand vous étiez jeune ? 
Oui, il y a longtemps (rires). 
Quand il était jeune !
Quand j’étais jeune. (rires)
Quel sport vous avez pratiqué ?
Alors c’était un autre sport de raquette : du tennis de table. Mais  voilà, au même titre que mes enfants s’éclatent aujourd’hui à faire de la compétition, j’en ai fait aussi dans des niveaux pratiquement équivalents. Et j'en ai tiré que du bon donc je suis content de pouvoir les encourager dans cette direction et aussi de donner l’opportunité à d’autres de profiter de cet aspect formateur du sport de, si ce n’est haut niveau,  en tout cas du sport pour commencer à forcer un peu pour faire quelque de pas mal.
Tu faisais du sport aussi quand tu étais gamin (en s’adressant à Jérémy) ?
Oui, j’ai fait beaucoup de sport. J’ai fait du tennis de table aussi, 7 ans. J’ai fait 15 ans de basket. Après, je me suis mis au badminton assez tard… en cadet au final, pour aller jusqu’en nationale. Et pendant les années de nationale, j’ai fait 2 ans de foot pour être avec les copains.
Les copains, ça reste important dans le sport…
C’est très important. Pour moi, c’est une des choses les plus importantes. La convivialité, c’est très important.
Et tu trouves que, personnellement, ça t’a apporté des choses, le sport, quand tu étais jeune et que tu avais l’âge des enfants de Jérôme ?
Ouai ouai, je pense que ça permet une éducation autre que la famille. Ça apprend des valeurs, ça apprend le respect, ça apprend beaucoup de choses : vivre en collectivité, ça apprend aussi sur le stress avec la gestion de soi-même, sur des examens après quand on est à l’école. Il y a beaucoup de choses en fait que le sport peut apporter alors que ce soit en débutant, en loisirs ou au haut niveau, peu importe mais  chacun peut retrouver plein de choses après dans la vie de tous les jours. 
Alors Matthieu avait envie de connaître votre meilleur souvenir que vous avez  conservé des années où vous faisiez du sport ou toi, tu en fais encore…
Il y  a eu plusieurs tournois… Le tournoi international de basket à Pacé dans mon club formateur donc du coup, ça c’était vraiment un tournoi sympa, le tournoi que tout gamin rêvait de faire, des montées avec le club où je jouais au FIB du coup. De D1, on est monté jusqu’en R1 sans  s’arrêter, tous les ans, on montait on montait…  donc voilà avec une bande de copains en plus donc voilà c’est pas mal de belles années et du coup, des copains qui sont devenus de très bons amis parce qu’il y en a un qui était témoin à mon mariage. Vraiment, plutôt un ensemble de choses qui sont sympas dans le sport.
T’as un souvenir à partager avec nous (en s’adressant à Jérôme) ?
Deux souvenirs, enfin  plein de souvenirs. Un souvenir : au championnat régional de tennis de table  à Mont-de-Marsan où j’avais eu le plaisir de finir 3ème et de monter sur un podium,  c’était un moment… Je me souviens d’un truc grandiose, j’étais champion olympique, c’était extraordinaire (rires), la journée magnifique… Et sinon, effectivement,  je rejoins Jérémy sur la notion de  convivialité et d’équipe. J’ai le souvenir de tous les matchs avec une équipe dans laquelle on se sent bien, on s’amuse bien et on s’éclate et où on revient avec une petite victoire ou une petite montée en fin d’année. Ah, c’est sympa de partager ça ensemble, je crois  qu’il n’y a pas un moment précis mais ces moments-là, c’est  essentiel.
Alors vous parlez de la progression. Jérôme, je pense que tu vas nous parler de  l’encadrement qu’il y a au BCBB et qui est supervisé par Jérémy. Tes enfants en profitent et du coup je crois que c’est important pour toi de souligner le fait de la qualité de l’entraînement. Tu peux nous en dire un mot ?
Oui en fait, c’est s’entraîner mais dans de bonnes conditions, dans une logique  compétitive parce que  ça permet de progresser et de se fixer quelques objectifs mais en même temps, d’y venir avec plaisir. C’est un compromis qui n’est pas toujours simple à trouver. Et que Jérémy a l’air de  bien réussir à trouver en tout cas dans les équipes qu’il a autour de lui et ça, c’est essentiel. Progresser et s’amuser, c’est un compromis difficile et plaisant quand on le trouve. Donc en tout cas pour ce que je vois ou pour ce que eux m’en ramènent, pour ces deux-là [Molène et Ethan], c’est réussi et c’est génial.
Faut prendre les compliments !
Oh c’est gentil mais c’est pas facile.
Il rougit sous son masque…
Un p’tit peu….
Et toi Jérémy, est-ce que tu pourrais nous indiquer comment les familles, de leur côté, elles peuvent accompagner leurs jeunes dans leur progression si elles veulent être présentes ?
Je pense qu’il y a  plusieurs façons de venir : ça peut être intégrer par exemple l’équipe qui vient parce qu’il y a beaucoup de personnes pour accueillir les jeunes, noter les noms, dire bonjour, réceptionner les questions, voilà, ça peut être une idée….  ça peut être un accompagnement sur les tournois aussi, ça peut être intégrer un bureau, ça peut être être force de proposition sur des manifestations que le club fait aussi, avec Bad Halloween, tous les tournois qu’ils font etc. Je pense que chaque personne est un peu différente et aime bien différents postes. Et je pense que chaque personne peut apporter un petit truc. Plus il y a de monde, plus on va avoir un truc à faire et le faire bien plutôt que d’être 2 ou 3 et vouloir  tout gérer. Le problème, c’est qu’au bout d’un moment,  les personnes en ont marre et ça tient 2/3 ans et après, ça part. J’invite tous les parents, toutes les personnes à venir. Il n’y a aucun problème, il faut que tout le monde vienne nous aider. Ça peut même être à l’entraînement, des parents qui viennent juste distribuer des volants au touts petits, aux petits jeunes qui ne savent pas encore jouer. Vraiment, il y a plein de sortes d'accompagnements qui peuvent être  faits. Et c’est le cas à Bain-De-Bretagne et c’est pour ça qu’on vit bien ici.
Il y aura un tournoi familial en fin d’année ?
Tous les ans en fin d’année le dernier vendredi, on fait un tournoi.
Ça veut dire que Jérôme, il peut venir et faire un tournoi avec ses enfants ?
En fait, on fait un petit tournoi où tout le monde peut inviter ses copains, copines, parents, enfants… et on fait un petit tournoi de doubles et ça réunit souvent, quand même, on est monté parfois à 40, 50 paires donc ça fait 80/100 personnes. L’idée, c’est de partager un bon moment, d’ouvrir un petit peu à tout le monde, de s’amuser, sans prise de tête et juste être là pour rigoler avec tout le monde et faire découvrir le badminton à de nouvelles personnes. C’est très important.
Et on va peut-être finir parce qu’on ne va pas vous retenir très longtemps mais on voulait… Enfin, nous , on est un club à l’écoute des conseils qu’on peut avoir de l’extérieur. Parfois, on est focus sur ce qu’on fait… Est-ce que vous avez des idées, des choses qu’on pourrait améliorer l’un et l’autre…?
Non, moi je trouve que justement c’est convivial. Vous  intégrez les jeunes. C’est positif, ça va dans le bon sens pour un club.
Moi, je suis d'accord. Je pense que la force première du club, c’est la convivialité. Ce côté un peu festif qu’on retrouve, que ça soit aux manifestations, à l’entraînement… Alors avec le COVID, on le perd un tout petit peu mais on sent qu’il y a une équipe soudée derrière et qui permet de tenir un peu les rênes et des fois, un petit coup de moins bien d’un autre… On a l’impression que tout le monde est copain là-dedans et que ça rebooste. Tout le monde revient… C’est génial ! L’intégration des jeunes se fait naturellement… Pour un entraîneur en tout cas, moi c’est top !


Merci à vous pour ce bon moment !!!!

 

Go BCBB